Quels sont les entrelacs entre fiction et reconstitution de l’identité d’individus – réels ou imaginaires – et d’artéfacts ? Le processus de dé-identification peut-il avoir une fonction dans la production de nouvelles connaissances ? Quelle fonction revêt la “trace” dans le processus d’identification ? Pourquoi le processus de dé-identification peut-il être vu à la fois comme épuisement de l’identité d’un être ou d’une oeuvre et comme présupposé pour son identification ?